Comment choisir son appareil photo : mon expérience et mes conseils

Appareils photo Jean-Pascal Michaud

Le contexte

Les annonces récentes de sorties du Sigma BF et du Fujifilm GFX100 RF ont suscité beaucoup d’enthousiasme et de discussions, et ravivé une question récurrente, au-delà de savoir s’il faut les acheter et si on les aime ou pas : quel est le meilleur appareil photo à acquérir lorsque l’on fait de la photographie ?

Moi aussi, au cours de mes différents ateliers photo et discussions diverses, je suis parfois sollicité pour des conseils sur le matériel et les « bons » appareils photos », j’ai maintenant envie sur mon site de donner mon point de vue et d’apporter mon expertise sur le sujet.

Il s’agit d’un article de fond, peut-être un peu long, mais je l’ai voulu exhaustif et n’hésitez pas à faire des pauses ou en reprendre la lecture sur plusieurs jours !

L'appareil photo parfait n'existe pas

Il est important de comprendre qu’il n’existe pas d’appareil photo que l’on pourrait qualifier de « parfait », c’est-à-dire qui réponde parfaitement à tous nos besoins, dans toutes les situations que l’on peut rencontrer dans la vie. C’est impossible.

Chaque modèle a ses forces et ses faiblesses, et le choix dépendra de nos besoins spécifiques et de nos priorités.

 

Par exemple le Sigma et le Fuji :

  • Le design du BF est incroyable, digne d’un produit « Apple », avec un capteur plein format placé dans un boîtier relativement léger et compact… Mais il n’y a pas d’obturateur mécanique, seulement électronique, ce qui pourrait poser des problèmes de rendu dans certaines situations comme lorsque le mouvement du sujet est très rapide ou dans certaines conditions d’éclairage.
  • Le GFX 100RF a lui aussi un superbe design, très Fuji et un peu retro, un capteur moyen format qui offre une qualité d’image exceptionnelle, une résolution de 102 millions de pixels… Mais ce n’est pas un appareil à objectifs interchangeables, l’écran orientable ne l’est qu’en mode « paysage » et l’ouverture est bonne mais pas aussi grande que sur plein d’autres objectifs présents sur le marché.

Ce sont deux exemples, mais pour chaque appareil photo on pourrait faire le même exercice.

Ainsi un boîtier accompagné d’un très bon objectif, le tout « profilé » pour le sport, formera très probablement un combo assez lourd et encombrant, ce qui n’est pas idéal pour partir toute la journée avec en randonnée ou pour celles et ceux qui rechercheraient la discrétion en photo de rue.

A l’inverse un appareil de type RICOH GR ou même un smartphone seront vraiment super pour les personnes qui aiment la photo de rue ou qui ont juste envie d’avoir un appareil photo à mettre dans son sac ou sa poche et le sortir pour la vie de tous les jours, mais pour faire la photo animalière ce sera sans doute plus difficile !

Alors finalement, qu’est-ce qui fait que l’on pourrait décider d’acheter tel ou tel appareil photo ? Je vais vous proposer ma « grille de lecture » pour guider ce choix.

Ma ligne de conduite pour choisir un appareil photo

Une fois que l’on a fait le deuil de l’espérance d’un appareil photo parfait, que l’on a compris que quoi qu’il arrive, il y aura des compromis à faire, il est alors temps de passer à l’action.

Voici mes conseils pour vous aider dans cette démarche, sans aborder le budget, car ces conseils valent à mon avis pour toutes les bourses :

Le plaisir d’utilisation : L’appareil photo doit avant tout être un objet de plaisir. Il doit vous donner envie de le prendre avec vous et de l’utiliser, parce que vous allez le trouver beau, excitant, maniable, petit, grand, avec plein de boutons de paramétrage, avec un style épuré… A vous de définir plus précisément vos critères de « craquage » !

Attention en ce qui concerne l’ergonomie du logiciel interne de l’appareil, il est préférable de prendre un appareil avec des menus accessibles et facilement compréhensibles. Cependant ce n’est pas facile à vérifier puisque par définition vous ne le constaterez qu’après l’achat. Et d’autre part ce type de jugement reste assez subjectif, ce qui est clair pour l’un ou l’une ne l’est pas forcément pour les autres.

Faites au mieux, lisez les avis et critiques qui en parlent, essayez l’appareil sur place si l’achat ne se fait pas en ligne, ou auprès d’une connaissance qui aurait le même appareil ou la même marque.

Le seul conseil de base que je peux donner par rapport à ça est de prendre un appareil permettant d’accéder à un menu « rapide », ou « quick menu », ou éventuellement avec beaucoup de boutons paramétrables, c’est bien plus pratique que de devoir aller farfouiller dans les menus entre deux photos.

L’usage : Déterminez l’usage principal que vous ferez de votre appareil photo, ou en tout cas celui que vous aller placer au-dessus de tout pour votre utilisation : de la photographie de sport, de rue, de paysage, pour des portraits, pour tous les jours, lors de quelques occasions seulement, en ville, à la campagne, sous la pluie, dans l’eau, au sec, pour imprimer, pour les réseaux sociaux… ?

C’est à partir de la définition de cet usage que vous allez faire vos compromis, acheter votre boîtier et éventuellement vos objectifs s’il s’agit d’un appareil à objectifs interchangeables, et quand ce sera fait n’ayez aucun regret !

Évidemment le problème pour certaines et certains est que vous ne savez pas trop quel en sera votre usage, qu’il évoluera peut être voire probablement dans les mois ou années qui suivront l’acquisition de l’appareil.

C’est pour cela que j’aurais tendance à vous inviter à prendre le maximum de photos avec ce que vous avez sous la main, par exemple votre téléphone ou votre « vieux » reflex numérique, puis prendre un peu de recul régulièrement pour regarder vos photos, vous rappeler du moment lors duquel vous les avez prises, pour essayer de définir l’usage potentiel de que vous ferez lorsque vous aurez acquis votre appareil.

Et c’est aussi pour cela que j’aurais aussi tendance à vous conseiller de ne pas mettre trop d’argent au début dans votre appareil voire les éventuels objectifs, en achetant par exemple d’occasion, pour pouvoir changer par la suite sans forcément engager trop de frais supplémentaires.

J’y reviendrai plus tard, mais un téléphone peut aussi tout simplement constituer un « bon » appareil photo…

Mon expérience / exemple

Il existe un proverbe dont je ne connais pas la provenance ni la formulation exacte, mais qui dit en substance « l’expérience est comme une lanterne, elle n’éclaire que celui qui la porte ».

Je vais quand même expliquer quelle a été ma réflexion, non pas pour que vous fassiez la même chose, mais pour que vous compreniez en quoi l’usage me paraît si important.

J’ai commencé la photographie il y a une vingtaine d’années en prenant des photos de sport pour mon club, de l’athlétisme, d’abord avec un appareil numérique compact. Je me suis pris au jeu et je suis allé rapidement acheter un appareil reflex, que je fais évoluer au cours des ans d’un entrée de gamme vers un Nikon D750. Il y a quelques années, pour diverses raisons, j’ai fait évoluer ma pratique en prenant d’autres types de photos que les photos de sport, photos que l’on pourrait qualifier « de rue », « urbaines », « de tous les jours ».

Après deux ou trois ans de réflexion, de prise de recul sur mes usages, de reventes et d’achats de mes boitiers et objectifs, je suis arrivé à un « set up » qui à ce jour me convient bien :

 

  • Un Panasonic Lumix S5 que j’utilise presque uniquement pour les journées de compétitions d’athlétisme. En effet j’ai alors un grand nombre de photos à faire, je veux que le processus soit relativement efficient, je les prends en raw et les traite sur Lightroom, les objectifs que j’utilise sont un Sigma 100-400mm et un Sigma 85mm. J’utilise ce boîtier aussi pour certains projets très spécifiques pour lesquels je veux être le plus efficace, fiable et rapide possible. Par contre je ne le prends pas dans la vie de tous les jours ou en balade, trop encombrant et trop lourd sur la durée

  • Un Sigma fp L que j’ai pris car c’est un plein format très petit que je peux mettre dans mon sac ou ma poche, que j’utilise dans la vie de tous les jours, en vacances, lors de mes balades… Son autofocus n’est pas incroyable dès qu’il y a un mouvement un peu trop rapide du sujet, il n’a pas d’obturateur mécanique ni de viseur, mais il est petit, plein format, a 60 millions de pixels ce qui me va bien pour le crop et l’impression, et j’arrive à sortir les photos que je veux avec, c’est mon compromis personnel

     

  • Un Leica CL acheté d’occasion sur MPB, avec deux objectifs également achetés d’occasion, que j’utilise en même temps pour la vie de tous les jours car c’est un APS-C que je peux mettre dans mon sac ou ma poche également, mais que je peux utiliser aussi pour certaines journées d’athlétisme car l’autofocus n’est pas trop mauvais, il y a un obturateur mécanique et un transfert Bluetooth vers mon portable ce qui m’arrange bien pour une diffusion rapide sur le site du club. Et comme vu précédemment il est relativement léger et peu encombrant, cela m’arrange bien de le prendre sur certaines compétitions quand je veux voyager léger !

A noter aussi que ces boîtiers ont la particularité d’avoir la même monture, dite « L », ce qui fait que tous les objectifs que je peux acquérir se montent indifféremment sur ces 3 appareils, cela me permet de « mutualiser » et « rationaliser » l’utilisation de mes « cailloux ».

Conseils et avis connexes

Voici quelques conseils et remarques diverses, qui concernent plus ou moins indirectement l’achat d’un appareil photo, et qui pourront vous aider dans votre choix.

 

Le type d’appareil photo : Il n’y a pas que les hybrides ou reflex dans la vie. Tout appareil peut retenir l’intérêt en fonction de l’usage que l’on en aura. Téléphone, compact, reflex, hybride, argentique, permettent de faire des photos de qualité, mais de manière différente. Le prix des appareils photos ne jouera pas tant sur la qualité du rendu des photos que sur la facilité et la fiabilité avec lesquelles vous pourrez prendre ces photos.

 

L’occasion : A ne surtout pas négliger. Les boîtier notamment peuvent rapidement perdre de leur valeur, alors que leur qualité d’origine reste la même. Les acheter d’occasion peut être un très bon plan, par exemple sur MPB ou pour celles et ceux qui préfèrent se rendre en magasin et qui sont dans les alentours de Reims, le magasin Mennesson photo peut aussi être un plan intéressant. Je précise que je n’ai aucun intérêt à promouvoir ces commerces, c’est juste que je les ai utilisés au cours de ces dernières années et que ça s’est bien passé.

 

Les objectifs : Même en occasion, le prix est proportionnel aux performances optiques des objectifs. Mais attention il faut être conscient que vous ne verrez souvent pas de différence dans le rendu final entre une photo prise avec un objectif performant et cher et un objectif moins performant et moins cher. La différence se verra plutôt dans une minorité de situations, en termes de possibilité de prendre ou pas la photo dans des conditions de luminosité extrême, dans ce cas la performance de l’objectif permettra de ne pas trop dégrader le rendu de l’image. La différence se verra aussi pour des situations très particulières, comme dans la photo de sport ou la photo animalière par exemple, qui nécessitent dans beaucoup de situations de posséder un matériel vraiment adapté pour sortir les photos « attendues » (isolation du sujet, photo d’un sujet éloigné…).

Mon conseil Ultime

Il ne faut pas oublier qu’une « bonne » photo peut être prise avec un téléphone, un compact, un bridge, un reflex, un hybride, un argentique, une chambre noire, une canette avec un trou dedans, de multiples exemples existent dans les musées, les expositions, les livres, les réseaux sociaux…

 

La vraie différence se fait sur la personne qui photographie, pas l’appareil qui aide cette personne à photographier, c’est le ou la photographe qui fait la photo, pas l’appareil…

 

Ne vaudrait-il pas mieux investir du temps voire de l’argent dans l’acquisition de connaissances et de compétences photographiques avant de le faire pour l’achat d’un nouvel appareil photo ?

 

Si vous vous posez des questions complémentaires, avez besoin de précisions, n’hésitez pas à les poser en commentaire, sur mes comptes Facebook ou Instagram

 

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Projet d’exposition à Reims en juin et juillet 2025 : églises et cathédrales

Le projet

Cathédrale de Reims - ombres

Depuis quelques années je constate que j’ai une certaine propension à entrer dans toutes les églises et cathédrales que je peux croiser lors de mes déplacements, chose que j’ai encore du mal à m’expliquer.

Il se trouve que j’y prends à chaque fois des photos, de leurs architectures, mais aussi de leurs mobiliers, des visiteurs aussi.

Cela dégage parfois des ambiances assez particulières et il m’a semblé avoir maintenant assez de matière pour en faire un projet que j’ai intitulé : « Églises et cathédrales : entre intimité et démesure ».

Intérieur de la cathédrale d'Amiens

Le lieu d'exposition

Projet pour lequel j’ai candidaté auprès de la ville de Reims afin d’être exposé au point culturel de la ville « Le Trésor », 2 rue Guillaume de Machault, juste à côté de la cathédrale.

J’ai eu la chance d’être retenu, et j’en remercie d’ores et déjà la ville de Reims, mais aussi Hervé, « découvreur de talents », qui a su me guider et faire de main de maître l’interface avec la ville .

La préparation

Ceci dit, je suis passé depuis le mois de septembre dernier, au fur et à mesure des mois, à l’étape « opérationnelle » de cette exposition : quelles photos et combien en sélectionner, sous quelle forme, sur quels supports, selon quelle scénographie, les documents administratifs à préparer puis signer…

Intérieur de la cathédrale de Reims

Où en suis-je concrètement ?

Le papier et les supports sont sélectionnés : le papier Canson Arches aquarelle (le papier texturé mat colle bien avec les images à mon sens) sur des cadres et planches de bois réalisés spécialement par Pascal Lamy, de la marque « L’atelier du bois« , artisan d’art / tourneur sur bois présent à la Maison des métiers d’art de Laon et à la boutique Constellation, toujours à Laon.

La scénographie au Trésor reste à inventer, j’y suis déjà allé faire quelques visites de « reconnaissance », même si je commence à avoir quelques petites idées.

Une question demeure, la plus importante : quelle ligne directrice adopter pour les photographies que je présenterai ? Si le choix du noir et blanc est déjà arrêté, comme en témoignent les trois images dévoilées sur cette page, je reste indécis quant à la présence de personnages « humains », dans une recherche de cohérence globale de la série. Dois-je ne présenter que des scènes animées par des silhouettes humaines, ou bien ouvrir la porte à des ambiances similaires mais dépourvues de personnages ?

Les dates

Une chose est certaine, l’exposition est prévue du 18 juin au 31 juillet 2025.

Un vernissage devrait être organisé avant l’ouverture, je communiquerai sur la date dès que ce sera finalisé !

Installation de l’exposition photographique à la médiathèque d’Anizy le Grand

Exposition photographique collective

Profitons de ma première exposition photographique en 2025 dans l’Aisne pour dévoiler quelques coulisses de ce genre d’évènement.

Comment installe-t-on une exposition photo ?

D’abord il faut se donner rendez-vous sur le lieu de l’exposition, en l’occurrence ce sera à la médiathèque d’Anizy le Grand. Nous sommes 6 photographes du club photo le Zoom laonnois à s’y retrouver, très bien accueillis par l’équipe de la médiathèque.

La préparation de l'exposition

Mais avant cela, il faut programmer l’exposition et trouver une thématique. En l’occurrence Stéphane, président du club photo, contacté par la médiathèque d’Anizy, lance un appel interne auprès des photographes de Laon inspirés par les thèmes de science-fiction, light-painting, zooming, explo-zooming et architecture moderne et en capacité de proposer ces photos pour janvier 2025.

Petite réflexion sur le projet, sa thématique, je relève le défi avec mon angle de photographe auteur de photographies urbaines captant les architectures et leur ambiance unique, et ma façon de voir la « science-fiction » : elle s’apparentera à un imaginaire que l’on peut retrouver dans des films ou séries d’anticipation avec des architectures très urbaines, assez brutes parfois, les personnages y évoluant au travers une « modernité alternative ». Je repense à des photographies d’architecture, et sélectionne une série de 7 photographies comme celle-ci aux Galeries Lafayettes, 4 photos de ce grand magasin à l’architecture Art Déco et 3 prises à la fondation Louis Vuitton, à l’architecture futuriste et changeante en permanence.

Photo intitulée "projection"

L'organisation sur place, la scénographie

Revenons à notre installation sur place. Une fois réunis entre photographes et avoir fait le tour des emplacements utilisables de la médiathèque, s’est posée la question de mettre quelle photo à quel endroit ?

Dans cette situation, une solution ingénieuse a été proposée par Jean-Luc : disposer toutes les photos au sol, les unes à côté des autres. Souvent les photographes le font tranquillement chez eux avec des tirages d’essai, mais vous l’aurez compris cette exposition photographique est un peu particulière.

Cela a permis de faire coïncider plus facilement les différents emplacements de la médiathèque avec des séquences de photos pour que puisse se dégager une certaine cohérence. Dans la mesure du possible, bien sûr, puisqu’il s’agit d’une exposition collective. Voici par exemple ce que cela donne ci-dessous pour 4 de mes photographies.

L’adaptation est le mot d’ordre …

Un autre point, très important, a été de trouver des solutions pour accrocher au mieux les cadres. Et ce n’est pas si facile que ça. C’est le lot commun des photographes qui exposent.
Il y a beaucoup de façons de présenter ses photos au public : sur des cimaises, des chaînes, des grilles, avec des clous… Chaque cadre a ses particularités, Il existe plusieurs types de crochets, d’accroches et on n’a pas forcément toutes les informations au préalable. C’est l’adaptation nous a permis de réussir même si certains cadres ne sont pas aussi droits que nous l’aurions souhaité.

L’exposition vous est ouverte

Quoiqu’il en soit, nous sommes 7 photographes à présenter nos photographies au sein de cette exposition à la médiathèque d’Anizy le Grand, et vous êtes invités à venir les découvrir jusqu’au 5 février 2025 (les journaux L’Ardennais et L’union en parlent)
Aventure collective de photographes laonnois, faite de créativité, d’adaptation et de moments de partage, nous espérons que vous prendrez autant plaisir à découvrir nos univers photographiques que nous avons eu à concevoir cette exposition.
Pour aller plus loin, vous pouvez explorer mes photographies Comme un phare dans le soir sur mon site web, ma galerie, et/ou découvrir cette exposition en cours jusqu’à mars 2025, à la Boutique Constellation au 23 rue Châtelaine à Laon.

De 2024… à 2025, mes vœux !

Vœux photographiques 2025 de Jean-Pascal Michaud

Bonjour à toutes et tous

Je vous présente mes meilleurs vœux et que 2025 soit l’année de la réalisation de projets qui vous tiennent à cœur.

Je reviens brièvement sur 2024, ma première année “pleine” en tant que photographe “artiste-auteur” et “auto-entrepreneur”.

Une année artistique marquée par la réalisation de plusieurs projets et expositions photographiques, très enrichissantes humainement :

  • Expositions sur le thème du sport avec une sélection de mon projet « Athlètes » entre avril et septembre 2024 à la Maison des Arts et Loisirs et au palais des sports de Laon @villedelaon, avec l’association Le Zoom Laonnois
  • Exposition de ma série Laon : lignes et mystères lors des journées européennes du patrimoine à la Maison des Métiers d’Art de Laon,  en avril puis pendant l’été  
  • Réalisation d’ateliers photographiques, de prise en main de son appareil réflex ou hybride dans 5 bibliothèques de la communauté de communes de la Champagne Picarde
  • Exposition de ma série “Athlètes” lors des rencontres photographiques de Château-Thierry organisées par le Photo Club Arc en Ciel  les 4 et 5 mai 2024 (https://www.facebook.com/share/g/18GLEfH3pS/?mibextid=wwXIfr)
  • Réalisation d’un important projet photographique sous forme de “résidence” pour l’entreprise Laguerre chimie à Saint-Etienne du Rouvray, près de Rouen, suivi d’une exposition au sein de l’entreprise
  • Exposition de la série Clair-obscur au Café-Boutique Abri à Reims, merci à Nawel pour sa confiance !
  • Exposition sur la micro et macro photographie lors de la Fête du Bois à Urcel le 25 août à l’occasion de la fête du bois, merci pour cette invitation à Jean-Luc Martra (Insta @jean.luc.martra.nb et Facebook : https://www.facebook.com/share/18ZBjcaX8Q/?mibextid=wwXIfr)
  • Exposition de la série “Athlètesà la boutique Constellation à Laon (23 rue Châtelaine) de juillet à septembre
  • Exposition de ma série Clair-obscur à la boutique Constellation entre septembre et octobre 
  • Exposition de mon projet “Comme un phare dans le soir” à la Boutique Constellation, toujours en cours depuis novembre et jusqu’en mars 2025

Une année marquée aussi par une refonte de mon site internet, qui est véritablement ma “galerie”, ainsi que la création d’une newsletter, pour s’y inscrire c’est ici. Je remercie pour cela chaleureusement Sandrine qui m’a “coaché” dans toutes les étapes de ce travail.

Pour 2025 des projets se préparent, j’ai plaisir à pouvoir déjà annoncer :

  • Exposition sur le thème de la science-fiction, en janvier à la médiathèque d’Anizy le Grand en collaboration avec 4 autres photographes du Zoom Laonnois
  • Exposition au Trésor, lieu de culture à Reims, en juin et juillet d’un nouveau projet en cours de réalisation “Églises et cathédrales : entre intimité et démesure”

D’autres projets et expositions sont à venir mais il est un peu tôt pour en dire plus…

Voilà voilà… A bientôt !